MOHAMMED VI et Cie : Une synergie savante et dévouée pour porter la révolution

La matérialisation d’une politique sportive nouvelle et plus conquérante a nécessité pour le Royaume chérifien, d’hommes forts pour l’incarner et l’implémenter. En tête de proue, SM le Roi Mohammed VI, véritable stratège au service de l’épanouissement de l’humain.

M VI, métronome et visionnaire

Le 27 mars 1988 au Stade Mohammed V de Casablanca, aux côtés de son défunt père, il lui était fait l’honneur de remettre au Cameroun, le trophée de vainqueur de la 16ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations de football. Comme un signe du destin, il prenait déjà place, très en relief, sur la scène sportive marocaine et continentale. Les faits sont aujourd’hui d’une évidence hurlante.

Alors même que le vaste chantier fut initié en 1965 par son défunt père le Roi Hassan II, beaucoup n’hésitent pas à désigner unanimement Sa Majesté Mohammed VI comme celui par qui tout a été fait. Tellement son implication est considérable dans la révolution sportive qui fait aujourd’hui du Maroc l’une des destinations les plus sollicitées du continent africain et du monde arabe. En effet, ce grand passionné de sport va commencer par revoir et travailler à l’amélioration de la gouvernance autour de la chose sportive nationale, aussi bien au niveau de la gestion des fédérations que de celle des clubs. Dans la foulée, une stratégie nationale multidimensionnelle sera élaborée et consacrée au secteur du sport, ainsi qu’un code de bonne gouvernance à cet effet. Puis, il y aura la mise en place d’un dispositif « moderne et efficace de régulation du secteur sportif reposant essentiellement sur la restructuration du paysage sportif national et la mise à niveau des organisations sportives dans la perspective de leur professionnalisation. »

C’est donc sous l’impulsion du jeune souverain et une fois toutes ces bases établies, que le Maroc va connaître une embellie fulgurante dans le domaine sportif, et toutes disciplines confondues. Des subventions conséquentes sont redistribuées en direction de toutes les fédérations, aux clubs affiliés à ces différentes fédérations, et à la professionnalisation du secteur, de la base au sommet. L’amélioration du parc infrastructurel se fait par ailleurs une priorité de tous les instants. Il n’existe à ce jour aucune région du Royaume où M VI n’ait inauguré des complexes d’envergure internationale ou des centres socio-sportifs de proximité. A date, plus de 611 installations sportives opérationnelles recensées à travers le pays. Des infrastructures dédiées aux jeunes ont pour objectif de favoriser l’éclosion de nouvelles compétences sportives et surtout, l’intégration socioculturelle des jeunes afin de les éloigner de la délinquance.

Pour le Roi, le secteur du sport se doit de s’imposer comme un levier de développement humain, d’inclusion, de cohésion sociale et de lutte contre l’exclusion et la marginalisation. D’où l’introduction du fait sportif, de sa gestion et de son évolution dans la constitution marocaine, comme pour asseoir définitivement la dynamique imprimée. Le droit au sport à l’instar de l’éducation, du travail et de la santé, est depuis la nouvelle constitution adoptée le 1er juillet 2021, un droit fondamental, inaliénable des citoyens.

Des hommes fidèles et dévoués à la tâche

Pour revenir au football, les succès sont retentissants. Pour la toute première fois dans l’histoire de la Coupe du Monde, une sélection africaine franchissait le seuil des quarts de finale, et avec la manière. C’est le résultat de cette politique mise en place et de toute la bonne gouvernance mise à contribution autour, afin que le Maroc profite à fond des performances de ses meilleurs athlètes, fussent-ils formés au pays ou à l’extérieur. A la baguette, un certain Fouzi Lekjaâ également ministre du Budget, à la tête de la FRMF, la Fédération Royale Marocaine de Football, depuis 2013. Exceptionnellement, il a été réélu pour un troisième mandat de rang, alors que les textes n’en prévoyaient jusque-là que deux de suite par individu. C’était d’ailleurs le seul candidat en lice.

Avec lui, le royaume a organisé avec brio, sur très belles installations, des compétitions de haut rang et de prestigieuses cérémonies à l’instar de la 14ème CAN de football féminine en 2022, candidate favorite pour la CAN masculine de 2025, la cérémonie des Awards CAF 2022… C’est également à lui que l’on doit le mérite de la nomination à la tête de la sélection fanion d’un entraîneur local, Walid Regragui alors coach du Wydad de Casablanca, à quelques mois seulement de la Coupe du Monde au Qatar. Le résultat est celui que l’on continue de célébrer et qui ouvre à l’Afrique des horizons plus clairs dans la compétition, avec un nombre plus élevé de participants, neuf au total désormais.

Un homme à poigne comme les préfère le Roi Mohammed VI, afin de propulser véritablement a vision qui est la sienne aujourd’hui, pour un Maroc toujours plus conquérant.

Recevez des notifications en temps réelle, Abonnez-vous !

Ce site collecte vos donnes pour améliorer l'experience, Nous considérons vous êtes d'accord. Au besoin, vous pouvez vous désengager. Accepter En savoir plus..